Bombardier Transport

Bombardier Transport
logo de Bombardier Transport
Logo de Bombardier Transport
illustration de Bombardier Transport
Ancien site de production de Bombardier Transport à Hennigsdorf, en Allemagne.

Création Voir et modifier les données sur Wikidata
Dates clés 1988 : rachat du constructeur ferroviaire belge BN

1989 : rachat du constructeur ferroviaire français ANF Industrie
1992 : rachat du canadien UTDC
2001 : rachat du constructeur allemand Adtranz
2021 : rachat par le groupe français Alstom

Disparition 2021
Forme juridique GmbH
Siège social Siegstraße 27, Netphen
Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Direction Danny Di Perna, président (2019-2021)
Actionnaires Drapeau de la France Alstom (100 %)
Activité Construction ferroviaire, Maintenance de matériel roulant
Produits Équipements ferroviaires et systèmes de signalisation
Société mère Alstom
Sociétés sœurs Alstom Transport
Filiales Bombardier Transport France, Bombardier Transportation Belgium, Adtranz
Effectif 39 400 (2015)
TVA européenne DE811928847Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web [1]

Chiffre d'affaires en augmentation 8,3 milliards $ (2015)
Société précédente Adtranz et Strømmens Værksted (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

Bombardier Transport était une entreprise ferroviaire canadienne dont le siège était situé à Netphen en Allemagne, rachetée depuis, par la multinationale française Alstom. Elle fut la division ferroviaire de la multinationale canadienne Bombardier Inc. de 1974 à 2021.

Elle a été créée au début des années 1970 lors de la diversification de cette dernière à partir de plusieurs acquisitions. Présente partout dans le monde, Bombardier Transport fabrique du matériel roulant ferroviaire (rames, métros, autorails, automotrices, locomotives, tramways, etc.) ou des parties de ceux-ci (bogies, etc.) et des systèmes de sécurité ferroviaire[1]. Elle a notamment participé à la fabrication du matériel roulant du métro de Toronto.

En 2019, le groupe Bombardier lourdement endetté, a vu l'Union européenne rejeter sa tentative de fusion avec Siemens-Alstom, puis a approché la française Alstom et la japonaise Hitachi dans le cadre d'une recherche de partenaire pour fusionner ses activités ferroviaires.

Le est annoncé un accord de reprise par Alstom, approuvé en juillet 2020 par la Commission européenne, créant ainsi le numéro deux mondial du ferroviaire, derrière le chinois CRRC. Le , Alstom achète l'entreprise pour un montant de 5,3 milliards d'euros[2],[3].

  1. « Profil », Bombardier Transport (consulté le )
  2. « Alstom : le constructeur français rachète Bombardier Transport et devient le numéro 2 mondial du secteur », sur Franceinfo, (consulté le )
  3. « « L’union d’Alstom avec Bombardier devrait être plus apaisée que celle avec Siemens » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )

© MMXXIII Rich X Search. We shall prevail. All rights reserved. Rich X Search